vendredi 20 juin 2008

Playlist #5 : Juin

Axel Bartsch - Am Mauerpark
Extrait de Kiss, sorti sur Karmarouge le 11 juin.

Premier album du producteur berlinois Axel Bartsch, qui ne déçoit pas. Sa techno est tendre, mélodique, et pourtant remue un dancefloor comme il se doit. Highly emotional and sensual, "It's like being kissed by music". Evidemment...



Chymera - Eulogy
Extrait du Ellipsis EP, sorti sur Figure le 21 mai.

La techno de Todd Burns est intemporelle, dark, puissante. Ellipsis s'est rapidement imposé comme l'un des tous meilleurs maxis sortis cette année en la matière. Synthés qui hurlent au désespoir, basse tout droit sortie des enfers et qui vous fend le coeur, qui vous retourne les tripes... Personne ne sort indemne d'une telle expérience. A écouter très fort le matin pour bien démarrer une journée.



Qbical - Summer Something
Extrait de l'album Life is just a bunch of pixels, à paraître prochainement sur Manual (sortie digitale uniquement).
Qbical se nomme Raymond van Baal, est néerlandais, et produit de la bonne musique. Comme quoi tout arrive! Influencé par Orbital, Leftfield ou les Chemical Brothers, sa techno est purement old-school, les claviers Evolution sont rugueux, mais toujours mélodiques.
Son album, bien que très inégal, contient de vraies perles, tel ce Summer Something qui va bien, ou le Looped Ride joué par Garnier sur son podcast RA. A découvrir.



Gabriel Ananda - Lila Pause
Extrait de la compilation Traum 100, sortie le 10 juin.

Les dernières sorties de Traum étaient décevantes. On redoutait donc la sortie de cette compilation fêtant les 10 ans d'un label fatigué, surpassé par son adversaire de toujours, Kompakt. On avait tord. Il n'y a rien à jeter de ce disque, et surtout pas cette perle délivrée par un Ananda en grande forme.
Certes ce n'est pas très original, mais faut quand même avouer que c'est bien foutu...




Ane Brun - Headphone Silence (Henrik Schwarz remix - Dixon edit)
Extrait du Headphone Silence EP, sorti sur Objektivity le 31 mai.
L'un des hits de l'année. La chanson d'Ane Brun, revisitée par Henrik Schwartz devient une vraie bombe, un cadeau offert à un dancefloor à chaque fois extatique. Génial!

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